Généalogie des Faubert
Des histoires à raconter...
Rechercher ses ancêtres exige de la patience, de la passion et de l'organisation.
Il m'a été facile de découvrir ma lignée paternelle, concentrée dans la région de Châteauguay, au Québec. Cependant, le premier ancêtre arrivé en Nouvelle-France, Jacques Faubert, ne venait pas de Confolens en Charente comme le mentionnait son acte de mariage; ses parents n'étaient pas bourgeois non plus. Toutefois, en Charente, une vieille lignée de Faubert remontant au XIIIe siècle est à découvrir...
Du côté de la grand-mère maternelle de mon père, une autre lignée de Foubert m'attendait. Difficile de distinguer Faubert et Foubert dans les actes. Il s'agissait bien d'une lignée distincte qui semble avoir son origne non pas à Paris comme le démontre l'acte de mariage de Jean-Baptiste Foubert dit Lecoq, mais de la Charente Maritime.
Une autre souche s'nstalle à Haïti : celle de Fançois Faubert, planteur de St-Omer en Flandres. Il épouse Catherine, qui était son esclave.
On retrouve une autre lignée de Foubert dans la région du Cap-de-la-Madeleine. Il s'agit de celle des frères Robert et Philippe Foubert dit Lacroix. Robert n'a aucune descedance mais Philippe a eu une fille : Marie qui épousa Jean Cusson, notaire royal et procureur fiscal.
Puis il y a celle d'Anne Foubert, considérée fille du roy, qui épouse à Montréal Pierre Boisseau, Seigneur de Bellevue.
Il y a la lignée de Johann Valentine Faber, originaire de Little Bavaria en Allemagne, qui s'est installé dans le comté d'Augusta en Virgine (États-Unis).
D'après les archives Pistard, on retrouve un contrat de mariage passé pardevant maître Barbel, notaire royal en la Prévôté de Québec, entre Marie-Josèphe Foubert, veuve de feu Charles Foubert, vivant chirurgien-major des armées de Sa Majesté, et Charles-Antoine Mesnage (Ménage), sieur de Courbisson.